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Rapport de mission d’Assistance Technique : Évaluation des besoins prioritaires des populations clés

Dans l’optique de recueillir les priorités des populations afin de les intégrer efficacement dans les propositions de financement, le Hub régional d’apprentissage, sous l’égide du Réseau d’Accès aux Médicaments Essentiels (RAME), a été mandaté pour organiser un dialogue régional virtuel afin d’identifier les besoins et priorités des populations clés pour informer le financement multipays. Cette étude, réalisée en décembre 2024, avait pour objectif d’évaluer les besoins prioritaires des populations clés en matière de santé, en se concentrant sur la disponibilité et l’accès aux services de prévention et de dépistage. Elle a concerné plusieurs pays, notamment le GABON ; NIGER ; GUINEE-BISSAU ; GUINEE ; TCHAD, et s’est appuyée sur un dialogue constructif avec les acteurs locaux. Les résultats de cette évaluation ont permis d’analyser la disponibilité des services de prévention et de dépistage dans chaque pays étudié, d’identifier les défis d’accès auxquels les populations clés sont confrontées et de proposer des recommandations claires pour améliorer l’accès et la qualité de ces services. Téléchargez ce rapport pour découvrir les enseignements de cette étude et les pistes d’amélioration pour des services de santé inclusifs et accessibles.  Téléchargez le rapport ici

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Unir les forces pour éliminer les obstacles : la Côte d’Ivoire s’engage dans une riposte inclusive contre la tuberculose

Du 25 au 30 novembre 2024, se tient en Côte d’Ivoire un atelier d’élaboration du plan d’action CRG (droits, genre et communautés) pour lutter contre les barrières d’accès au traitement de la tuberculose. Organisé à la suite d’une étude approfondie ayant identifié les principaux obstacles, notamment la stigmatisation et la discrimination, cet atelier permettra de coconstruire des solutions concrètes avec une large coalition de parties prenantes. Parmi les participants figurent le COLTMR CI, l’Alliance Côte d’Ivoire, le Programme National de Lutte contre la Tuberculose (PNLT), le Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS), des ONG d’anciens patients atteints de tuberculose, l’Association des Femmes Juristes, le Comité National des Droits de l’Homme (CNDH), la Direction de la Santé Communautaire et de la Promotion de la Santé (DSCPS), le Réseau Ivoirien des Femmes (RIOF), ainsi que le Comité d’Éthique. L’objectif de cet atelier est d’élaborer un plan d’action opérationnel et inclusif visant à réduire les obstacles liés aux droits humains et au genre, en favorisant un accès équitable et respectueux aux soins. Ensemble, ces acteurs se mobilisent pour transformer les résultats de l’étude en actions concrètes, contribuant ainsi à une lutte plus efficace contre la tuberculose en Côte d’Ivoire. En unissant leurs expertises et perspectives, les parties prenantes s’engagent à proposer des activités adaptées aux réalités locales pour éradiquer les pratiques discriminatoires et renforcer l’accompagnement des patients atteints de tuberculose. Ce plan d’action constituera une avancée décisive pour garantir que chaque patient puisse bénéficier d’un traitement dans un environnement respectueux de ses droits et de sa dignité.

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Appel à l’action : accès des communautés à des diagnostics efficaces, adaptés, abordables et de qualité

Observations du Consortium pour l’équité en matière de diagnostic (DEC) lors de la Convention spéciale de l’ASLM sur le diagnostic 7 Nov 2024, Abidjan, Côte d’Ivoire La Commission du Lancet sur les diagnostics a constaté un très grave manque de diagnostics essentiels dans les pays à faibles et moyens revenus et a conclu qu’environ 47 % de la population mondiale n’a qu’un accès limité, voire inexistant, aux diagnostics. Cette inégalité affecte gravement la population africaine. Le Consortium pour l’équité en matière de diagnostic (DEC) est un mouvement dirigé par la société civile qui plaide pour un accès plus large aux diagnostics essentiels afin de combler ce fossé mortel. Le DEC a constaté les progrès considérables réalisés dans le développement de nouveaux outils et stratégies de diagnostic, en particulier dans le domaine de la tuberculose, qui pourraient permettre d’atteindre les objectifs de couverture diagnostique fixés par les pays africains lors de la réunion de haut niveau des Nations unies sur la tuberculose. Nous sommes également ravis de la ratification, par les États membres africains, de la résolution de l’Assemblée Mondiale de la Santé (AMS) 2023 sur l’expansion des capacités des réseaux nationaux de diagnostic. En outre, nous sommes ravis de la dynamique visant à élargir l’accès aux diagnostics dans la région et nous félicitons l’ASLM pour son leadership, ses réunions et le soutien technique qu’elle apporte aux pays. Le moment n’a jamais été aussi propice pour faire avancer l’agenda du diagnostic au plan global. Toutefois, nous constatons que les gouvernements africains n’accordent toujours pas la priorité au financement et à l’allocation de ressources aux réseaux nationaux de diagnostic. Cela fait plus de 20 ans que le secteur public assure le programme de lutte contre le VIH, mais l’absence d’intégration dans les établissements de santé et les laboratoires, ainsi que le cloisonnement vertical des maladies, perdurent. Il est surprenant qu’en 2024, les programmes de soutien des donateurs n’aient pas encore totalement intégré la collecte et le transport des échantillons. Nous nous réjouissons d’entendre davantage de discours sur les dépistages centrés sur la personne, mais nous attendons toujours les changements nécessaires pour réduire le fardeau qui pèse sur les populations, notamment l’envoi numérique des résultats de laboratoire aux patients, la décentralisation des tests, l’adoption des tests auto-administrés comme objectif, l’élimination des frais à la charge du patient et la garantie que les diagnostics essentiels sont couverts par les régimes nationaux d’assurance-maladie. Nous constatons également avec inquiétude que les distributeurs locaux appliquent des marges de bénéfice élevées et que les contrats d’approvisionnement et de maintenance sont trop coûteux, ce qui a un impact négatif sur le coût et la disponibilité des kits de dépistage. Encore plus grave, le rôle de la société civile et des communautés reste faible voire inexistant dans la planification et la prise de décision en matière de diagnostic au niveau national. Nous demandons donc à tous les directeurs de laboratoire ici présents, ou à leurs représentants, de s’efforcer de respecter les engagements pris dans la résolution de l’AMS sur le diagnostic. Au pire des cas, les pays devraient élaborer une liste nationale des diagnostics essentiels (LDE) et des plans stratégiques nationaux de diagnostic – toutes maladies confondues. Il ne s’agit pas d’un plan de laboratoire national. Il s’agit d’un plan visant à étendre la disponibilité des tests essentiels aux soins de santé primaires et secondaires. Nous appelons également les directeurs de laboratoire et les directeurs de programme du ministère de la santé à consulter les représentants de la société civile et les communautés. Après tout, nous sommes vos meilleurs alliés pour le renforcement de la sensibilisation, de l’alphabétisation, de la création de la demande et de l’utilisation des tests dont nous disposons. Nous sommes également vos meilleurs alliés pour la réussite des plaidoyers en faveur des dépistages et prestations de services abordables, adaptés et efficaces, dont nous avons besoin à tous les niveaux de soins. Pour la tuberculose en particulier, nous appelons les pays à se préparer et à planifier dès maintenant l’introduction et le déploiement de nouveaux diagnostics innovants sur le site de soins et/ou près du site de soins, une fois sortis du pipeline. Les décisions relatives à l’emplacement et à la distribution de ces nouveaux outils ainsi que les plateformes moléculaires au sein des réseaux nationaux de diagnostic doivent être basées sur la proximité (vu l’importance de la décentralisation), l’urgence (vu le nombre de décès inutiles dus à la tuberculose), et l’opportunité de répondre aux besoins de la tuberculose ainsi qu’à ceux des autres problèmes de santé par le biais de dépistage multiplex. En tant que société civile et communautés, nous voulons aider le gouvernement à développer des plans de déploiement pour les dépistages sur de nouveaux sites de soins et/ou à proximité des sites de soins, afin couvrir tous les centres de soins de santé primaires. Nous voulons aider le gouvernement à élaborer des plans de déploiement de nouveaux diagnostics moléculaires de la tuberculose moins complexes, de préférence multiplex, dans chaque établissement de soins de santé secondaires. Nous demandons que les PNT et les directeurs des laboratoires nationaux organisent des fora/consultations nationaux pour élaborer conjointement ces plans. Pour obtenir des prix abordables négociés avec le secteur de l’industrie, nous devons faire preuve d’ambition dans notre planification. Si la demande est forte, si l’ambition est grande et si les volumes de commandes sont importants, nous obtiendrons un prix plus abordable que si nous restons lents et faibles dans notre déploiement. Nous devons faire en sorte que ce prix abordable de demain le soit dès aujourd’hui. Rappelons également que le pipeline propose des alternatives solides au monopole de GenXpert, ce qui permet aux gouvernements d’avoir davantage d’options en fonction des besoins de leur population et de la capacité de leur réseau. Nous demandons à l’industrie de fournir et aux acteurs de la santé mondiale de garantir : premièrement, l’octroi de licences pour ces technologies prometteuses et le transfert de technologie pour permettre la fabrication régionale ; deuxièmement, la transparence des prix des outils de diagnostic et des

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Soutien à l’engagement rapide : Dialogue régional virtuel pour élaborer un document de contribution communautaire pour la subvention multipays

En juin 2024, le Fonds mondial a publié des directrices pour le financement multipays pour le cycle de financement 2023-2025 . Le financement multi-pays est disponible pour couvrir un nombre limité de priorités stratégiques clés qui sont considérées comme essentielles pour atteindre les objectifs de la stratégie du Fonds mondial avec des ressources qui complètent les allocations nationales, connues sous le nom d’investissements catalytiques, pour aborder des domaines qui ne peuvent pas être couverts par ces seules allocations. Ces priorités ont été définies par le Secrétariat du Fonds mondial et approuvées par le Comité d’approbation des subventions (GAC) en avril 2024, et seront financées par cette modalité catalytique.Afin de recueillir les priorités des représentants des populations clés (y compris, mais sans s’y limiter, les professionnelles du sexe (PS), hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), personnes transgenres, et usagers de drogues injectables (UDI)) pour les domaines prioritaires identifiés pour le financement multi-pays, le Hub régional d’apprentissage, mise en œuvre par le Réseau d’Accès aux Médicaments Essentiels (RAME), organisera un dialogue régional virtuel.Les résultats du processus de dialogue virtuel seront publiés et pourront être utilisés comme un document de travail fondamental par tout candidat potentiel pour préparer sa proposition.  Accédez ici à l’Appel

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Journée internationale de la couverture sanitaire universelle

En prévision de la Journée internationale de la CSU le 12 décembre, nous sommes ravis de partager avec vous le modèle de lettre de plaidoyer que vous pouvez personnaliser pour intégrer vos messages clés et vos demandes aux décideurs pour accélérer les progrès en matière de CSU. Cette Journée de la CSU 2024 se déroulera sous le thème « Santé : c’est l’affaire du gouvernement ! », qui vise à souligner le rôle essentiel du gouvernement pour garantir que personne ne souffre de difficultés financières lors de l’accès aux services de santé en raison de frais à sa charge. Au cours des deux dernières décennies, la protection financière en matière de santé s’est progressivement dégradée dans 70 % des pays. Plus de 2 milliards de personnes dans le monde ont des difficultés financières pour accéder aux services de santé en raison des frais à leur charge. Les progrès vers la CSU sont entravés lorsque des milliards de personnes sont poussées ou poussées plus loin dans la pauvreté, ou contraintes de renoncer à des traitements, ce qui peut entraîner une maladie à long terme ou la mort. Cette campagne de lettres de plaidoyer pour la Journée de la CSU vise à doter les défenseurs des ressources dont ils ont besoin pour appeler leurs décideurs à donner la priorité à la protection financière afin d’accélérer les progrès de la CSU. En outre, les défenseurs qui envoient des lettres à leurs dirigeants seront considérés comme participant à la campagne des champions de la Journée de la CSU 2024. Il leur suffit de nous prévenir lorsqu’ils envoient la lettre en copiant laura@wacihealth.orget/ou recevoir une réponse de leur public cible. Le modèle de lettre de plaidoyer est disponible en anglais, en espagnol, en français et en russe. Aidez-nous à amplifier notre message auprès de vos réseaux. Merci beaucoup pour votre soutien et votre partenariat. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions ou si vous avez besoin de quoi que ce soit.

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Rapport mondial de l’OMS sur la Tuberculose

Le rapport mondial 2024 de l’OMS sur la tuberculose met en évidence des progrès mitigés dans la lutte mondiale contre la tuberculose, avec des défis persistants tels qu’un sous-financement important. Alors que le nombre de décès liés à la tuberculose a diminué de 1,32 million en 2022 à 1,25 million en 2023, le nombre total de personnes tombant malades Le nombre de personnes atteintes de tuberculose a légèrement augmenté pour atteindre environ 10,8 millions en 2023.La maladie touchant de manière disproportionnée les populations de 30 pays fortement touchés, l’Inde (26 %), l’Indonésie (10 %), la Chine (6,8 %), les Philippines (6,8 %) et le Pakistan (6,3 %) représentaient ensemble 56 % de la prévalence mondiale. Fardeau de la tuberculose. Selon le rapport, 55 % des personnes atteintes de tuberculose étaient des hommes, 33 % des femmes et 12 % des enfants et des jeunes adolescents. « Le fait que la tuberculose tue et rende malade encore tant de personnes est un scandale, alors que nous disposons des outils pour la prévenir, la détecter et la traiter », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus. « L’OMS exhorte tous les pays à honorer les engagements concrets pris dans ce domaine. « Ils ont pris des mesures pour étendre l’utilisation de ces outils et pour mettre fin à la tuberculose. » En 2023, l’écart entre le nombre estimé de nouveaux cas de tuberculose et ceux signalés s’est réduit à environ 2,7 millions, contre environ 4 millions en 2020 et 2021 lors de la pandémie de COVID-19. Cela fait suite à des efforts nationaux et mondiaux substantiels pour se remettre de la COVID-19. Les perturbations liées aux services de lutte contre la tuberculose. La couverture du traitement préventif contre la tuberculose a été maintenue pour les personnes vivant avec le VIH et continue de s’améliorer pour les contacts familiaux des personnes diagnostiquées avec la tuberculose. Cependant, la tuberculose multirésistante reste une crise de santé publique. Les taux de réussite du traitement de la tuberculose multirésistante ou résistante à la rifampicine (TB-MR/RR) atteignent désormais 68 %. Mais, sur les 400 000 personnes qui auraient développé une tuberculose multirésistante/ RR-TB, seulement 44% ont été diagnostiqués et traités en 2023. Lacunes et défis en matière de financement : Le financement mondial de la prévention et des soins de la tuberculose a encore diminué en 2023 et reste bien en deçà des objectifs. Les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI), qui supportent 98 % du fardeau de la tuberculose, ont été confrontés à d’importantes pénuries de financement. Seuls 5,7 milliards de dollars sur les 22 milliards de dollars prévus L’objectif de financement annuel de 1 milliard de dollars était disponible en 2023, soit seulement 26 % de l’objectif mondial. Le montant total des financements des donateurs internationaux dans les pays à revenu faible et intermédiaire est resté autour de 1,1 à 1,2 milliard de dollars par an pendant plusieurs années. Le gouvernement des États-Unis reste le plus grand donateur bilatéral pour la tuberculose. Alors que le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme) est le principal donateur bilatéral pour la tuberculose, le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme) est le principal donateur bilatéral pour la tuberculose. La contribution du Fonds mondial au financement international de la lutte contre la tuberculose, en particulier dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, est importante, mais elle reste insuffisante pour couvrir les besoins essentiels en matière de services de lutte contre la tuberculose. Le rapport souligne qu’un investissement financier soutenu est essentiel au succès des efforts de prévention, de diagnostic et de traitement de la tuberculose. À l’échelle mondiale, la recherche sur la tuberculose reste gravement sous-financée, avec seulement un cinquième de l’objectif annuel de 5 milliards de dollars US atteint en 2022. Cela entrave le développement de nouveaux diagnostics, médicaments et vaccins contre la tuberculose. L’OMS continue de mener les efforts pour faire progresser le programme de vaccination contre la tuberculose, notamment avec le soutien du Conseil pour l’accélération des vaccins contre la tuberculose lancé par le Directeur général de l’OMS. Facteurs complexes de l’épidémie : Pour la première fois, le rapport fournit des estimations sur le pourcentage de ménages touchés par la tuberculose qui doivent faire face à des coûts catastrophiques (supérieurs à 20 % du revenu annuel du ménage) pour accéder au diagnostic et au traitement de la tuberculose dans tous les pays à revenu faible ou intermédiaire. Ces estimations indiquent que la moitié des ménages touchés par la tuberculose sont confrontés à des coûts catastrophiques (supérieurs à 20 % du revenu annuel du ménage) pour accéder au diagnostic et au traitement de la tuberculose dans tous les pays à revenu faible ou intermédiaire. des coûts si catastrophiques. Un nombre important de nouveaux cas de tuberculose sont dus à cinq facteurs de risque majeurs : la dénutrition, l’infection par le VIH, les troubles liés à la consommation d’alcool, le tabagisme (en particulier chez les hommes) et le diabète. Pour s’attaquer à ces problèmes, ainsi qu’à des facteurs déterminants comme la pauvreté et le PIB par habitant, il faut action multisectorielle coordonnée. « Nous sommes confrontés à une multitude de défis redoutables : déficits de financement et fardeau financier catastrophique pour les personnes touchées, changement climatique, conflits, migrations et déplacements, pandémies et tuberculose résistante aux médicaments, un facteur important de résistance aux antimicrobiens », a déclaré le Dr Tereza Kasaeva , Directeur du Programme mondial de lutte contre la tuberculose de l’OMS. « Il est impératif que tous les secteurs et toutes les parties prenantes s’unissent pour faire face à ces problèmes urgents et intensifier nos efforts. » Les objectifs et les jalons mondiaux visant à réduire la charge de morbidité de la tuberculose sont loin d’être atteints, et des progrès considérables sont nécessaires pour atteindre les autres objectifs fixés pour 2027

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Guide sur le paludisme et le genre

La ressource sur les actions pratiques visant à intégrer le genre dans les programmes de lutte contre le paludisme est disponible – voir ici et ci-joint : https://www.theglobalfund.org/media/15055/crg_strengthen-gender-approaches-malaria-response_report_en.pdf Cette ressource se concentre sur une série d’exemples concrets pour montrer comment il est possible d’intégrer le genre dans les programmes de lutte contre le paludisme et de santé primaire de manière pratique et gérable. Veuillez l’utiliser et le partager avec vos partenaires.Ce travail est le fruit d’une collaboration approfondie entre le Secrétariat et les collègues des domaines de l’égalité des sexes, des droits de l’homme, du paludisme et de la santé environnementale et sociale. Il a également bénéficié de consultations et de discussions avec la communauté de pratique mondiale sur l’égalité des sexes et le paludisme ainsi qu’avec l’OMS.

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Le Fonds mondial, un pilier dans la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme, renforce les systèmes de santé pour un avenir plus inclusif et résilient.

« Le Fonds mondial tient sa promesse : sauver des vies face au VIH, à la tuberculose et au paludisme, tout en collaborant avec les pays pour renforcer et rendre plus inclusifs les systèmes de santé », a déclaré Peter Sands, directeur exécutif du Fonds mondial. Le Rapport 2024 sur les résultats met en avant les avancées significatives dans la lutte contre ces maladies dévastatrices et nos efforts pour renforcer les systèmes de santé, les rendant plus solides et inclusifs. Pour en savoir plus, consultez le rapport complet en français https://www.theglobalfund.org/media/15079/core_2024-results_summary_fr.pdf

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Bulletin d’information du mois de Septembre 2024

Le site web du Hub d’Apprentissage fait peau neuve🥳🤩🥳 Chers partenaires et membres de la communauté, Dans notre démarche constante à vous livrer les informations concernant le Fonds Mondial en Afrique francophone, nous sommes heureux de vous annoncer la mise en ligne de la nouvelle interface de notre site web ! Plus moderne, plus intuitive. Cette nouvelle interface vous permet de suivre toute l’actualité du Hub en lien avec le Fonds mondial et d’accéder facilement aux ressources qui vous intéressent. 👉 Visitez dès maintenant notre nouveau site web ici : [Hub d’Apprentissage] En plus, nous est désormais présent sur Instagram. Suivez nous pour ne rien manquer de nos actualités et de nos activités :   👉 Rejoignez-nous sur Instagram ici : [Hub d’Apprentissage Instagram] Enfin pour étendre notre communication et renforcer notre visibilité, nous avons le plaisir de vous informer que le Réseau Accès aux Médicaments Essentiels (RAME) qui héberge le Hub vient de lancer sa page LinkedIn ! Nous vous invitons à vous abonner et à interagir avec nous pour rester informés de nos actions :   👉 Suivez-nous sur LinkedIn ici : Linkedin/rame-Réseau-aux-Médicaments-Essentiels Nous vous remercions de votre engagement à nos côtés et vous attendons nombreux sur nos nouvelles plateformes ! Appel à propositions pour des subventions multipays en Afrique de l’Ouest et du Centre (Gabon, Guinée, Guinée Bissau, Niger et Tchad) Le Fonds mondial soutient des subventions multipays visant à accélérer la fin des épidémies et à renforcer les systèmes de santé en s’attaquant aux goulots d’étranglement régionaux. Un appel d’offres pour des subventions multipays axées sur le renforcement des programmes de prévention du VIH pour les populations clés est désormais disponible. Vous pouvez en savoir plus sur les exigences, les critères, les délais et le processus de soumission ici : chrome-extension://efaidnbmnnnibpcajpcglclefindmkaj/ https://www.theglobalfund.org/media/15050/core_wca-multicountry_rfp_fr.pdf Toutes les soumissions doivent être envoyées au plus tard le 17 février 2025. Le Fonds mondial alloue près de 10 millions de dollars US à la riposte au MPOX en RDC GENÈVE | 18 septembre 2024 – À la demande du gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC), le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (le Fonds mondial) alloue au pays la somme de 9,5 millions de dollars US pour sa riposte d’urgence à la mpox dans six des provinces à plus forte transmission, soit Équateur, Sud-Ubangui, Sankuru, Tshopo, Sud-Kivu et Nord-Kivu, ainsi qu’à Kinshasa, une province densément peuplée comptant 17 millions d’habitants.  La RDC est actuellement aux prises avec la plus grande épidémie de MPOX au monde, avec 5 160 cas confirmés et 25 décès depuis le début de l’année. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la couverture du dépistage en RDC demeure faible en raison de capacités et de disponibilités limitées. Le nombre de cas suspectés est environ cinq fois plus élevé que le nombre de cas confirmés par test de laboratoire. S’alignant sur les domaines prioritaires du Plan national de préparation et de riposte du gouvernement congolais, le Fonds mondial dirigera son appui vers les activités suivantes : Appel à candidature – YOUNITE Global YOUNITE GLOBAL (Youth United for Impact in TB Elimination) est une plateforme mondiale dynamique créée par des jeunes pour susciter des changements significatifs dans la lutte contre la tuberculose (TB). Cette initiative permet aux jeunes dirigeants de collaborer, d’innover et de plaider en faveur de stratégies efficaces pour éliminer la tuberculose, garantissant ainsi un avenir plus sain aux communautés du monde entier. Nous recherchons un jeune leader pour représenter sa région en tant que membre de YOUNITE Global. Cette personne doit être passionnée par l’éradication de la tuberculose (TB) et posséder la capacité de mobiliser davantage de jeunes dans la lutte contre cette maladie. Notre mission est d’unir les jeunes leaders pour éliminer efficacement la tuberculose. Pour postuler, veuillez scanner le code-barres indiqué dans le flyer ou cliquer sur le lien: https://forms.gle/SmgtorvCRmCktC1B7 Postulez au programme de communication et de leadership sur la santé et les droits humain pour les jeunes activistes Lever les obstacles aux services de santé au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Sénégal et en Tunisie : un programme de renforcement du leadership des jeunes dans la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme. Vous êtes jeune et activiste au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Sénégal ou en Tunisie ? Le changement social et la réduction des obstacles liés aux droits humains qui entravent l’accès aux services de santé vous intéressent ? Si oui, ce programme novateur pourrait être pour vous ! Ce mois de décembre, le Fonds mondial et la Fondation Thomson Reuters lancent la première cohorte francophone d’un programme à l’intention des organisations de la société civile et des journalistes au Cameroun, en Côte d’Ivoire, au Sénégal et en Tunisie. Le programme appuiera des membres des organisations de la société civile et leurs réseaux dans leurs efforts visant à éliminer les obstacles liés aux droits humains qui entravent l’accès aux services de santé. Il s’agit d’une part d’améliorer les compétences de ces membres en matière de communication et de mobilisation des médias, et d’autre part d’aider les journalistes à faire des reportages exacts et d’autorité dans ce domaine. Le programme commencera par une formation en personne de cinq jours en décembre 2024, suivie d’une série d’activités participatives se déroulant jusqu’à la fin de 2026. En savoir plus

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