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Rapport de mission d’Assistance Technique : Évaluation des besoins prioritaires des populations clés

Dans l’optique de recueillir les priorités des populations afin de les intégrer efficacement dans les propositions de financement, le Hub régional d’apprentissage, sous l’égide du Réseau d’Accès aux Médicaments Essentiels (RAME), a été mandaté pour organiser un dialogue régional virtuel afin d’identifier les besoins et priorités des populations clés pour informer le financement multipays. Cette étude, réalisée en décembre 2024, avait pour objectif d’évaluer les besoins prioritaires des populations clés en matière de santé, en se concentrant sur la disponibilité et l’accès aux services de prévention et de dépistage. Elle a concerné plusieurs pays, notamment le GABON ; NIGER ; GUINEE-BISSAU ; GUINEE ; TCHAD, et s’est appuyée sur un dialogue constructif avec les acteurs locaux. Les résultats de cette évaluation ont permis d’analyser la disponibilité des services de prévention et de dépistage dans chaque pays étudié, d’identifier les défis d’accès auxquels les populations clés sont confrontées et de proposer des recommandations claires pour améliorer l’accès et la qualité de ces services. Téléchargez ce rapport pour découvrir les enseignements de cette étude et les pistes d’amélioration pour des services de santé inclusifs et accessibles.  Téléchargez le rapport ici

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Appel à l’action : accès des communautés à des diagnostics efficaces, adaptés, abordables et de qualité

Observations du Consortium pour l’équité en matière de diagnostic (DEC) lors de la Convention spéciale de l’ASLM sur le diagnostic 7 Nov 2024, Abidjan, Côte d’Ivoire La Commission du Lancet sur les diagnostics a constaté un très grave manque de diagnostics essentiels dans les pays à faibles et moyens revenus et a conclu qu’environ 47 % de la population mondiale n’a qu’un accès limité, voire inexistant, aux diagnostics. Cette inégalité affecte gravement la population africaine. Le Consortium pour l’équité en matière de diagnostic (DEC) est un mouvement dirigé par la société civile qui plaide pour un accès plus large aux diagnostics essentiels afin de combler ce fossé mortel. Le DEC a constaté les progrès considérables réalisés dans le développement de nouveaux outils et stratégies de diagnostic, en particulier dans le domaine de la tuberculose, qui pourraient permettre d’atteindre les objectifs de couverture diagnostique fixés par les pays africains lors de la réunion de haut niveau des Nations unies sur la tuberculose. Nous sommes également ravis de la ratification, par les États membres africains, de la résolution de l’Assemblée Mondiale de la Santé (AMS) 2023 sur l’expansion des capacités des réseaux nationaux de diagnostic. En outre, nous sommes ravis de la dynamique visant à élargir l’accès aux diagnostics dans la région et nous félicitons l’ASLM pour son leadership, ses réunions et le soutien technique qu’elle apporte aux pays. Le moment n’a jamais été aussi propice pour faire avancer l’agenda du diagnostic au plan global. Toutefois, nous constatons que les gouvernements africains n’accordent toujours pas la priorité au financement et à l’allocation de ressources aux réseaux nationaux de diagnostic. Cela fait plus de 20 ans que le secteur public assure le programme de lutte contre le VIH, mais l’absence d’intégration dans les établissements de santé et les laboratoires, ainsi que le cloisonnement vertical des maladies, perdurent. Il est surprenant qu’en 2024, les programmes de soutien des donateurs n’aient pas encore totalement intégré la collecte et le transport des échantillons. Nous nous réjouissons d’entendre davantage de discours sur les dépistages centrés sur la personne, mais nous attendons toujours les changements nécessaires pour réduire le fardeau qui pèse sur les populations, notamment l’envoi numérique des résultats de laboratoire aux patients, la décentralisation des tests, l’adoption des tests auto-administrés comme objectif, l’élimination des frais à la charge du patient et la garantie que les diagnostics essentiels sont couverts par les régimes nationaux d’assurance-maladie. Nous constatons également avec inquiétude que les distributeurs locaux appliquent des marges de bénéfice élevées et que les contrats d’approvisionnement et de maintenance sont trop coûteux, ce qui a un impact négatif sur le coût et la disponibilité des kits de dépistage. Encore plus grave, le rôle de la société civile et des communautés reste faible voire inexistant dans la planification et la prise de décision en matière de diagnostic au niveau national. Nous demandons donc à tous les directeurs de laboratoire ici présents, ou à leurs représentants, de s’efforcer de respecter les engagements pris dans la résolution de l’AMS sur le diagnostic. Au pire des cas, les pays devraient élaborer une liste nationale des diagnostics essentiels (LDE) et des plans stratégiques nationaux de diagnostic – toutes maladies confondues. Il ne s’agit pas d’un plan de laboratoire national. Il s’agit d’un plan visant à étendre la disponibilité des tests essentiels aux soins de santé primaires et secondaires. Nous appelons également les directeurs de laboratoire et les directeurs de programme du ministère de la santé à consulter les représentants de la société civile et les communautés. Après tout, nous sommes vos meilleurs alliés pour le renforcement de la sensibilisation, de l’alphabétisation, de la création de la demande et de l’utilisation des tests dont nous disposons. Nous sommes également vos meilleurs alliés pour la réussite des plaidoyers en faveur des dépistages et prestations de services abordables, adaptés et efficaces, dont nous avons besoin à tous les niveaux de soins. Pour la tuberculose en particulier, nous appelons les pays à se préparer et à planifier dès maintenant l’introduction et le déploiement de nouveaux diagnostics innovants sur le site de soins et/ou près du site de soins, une fois sortis du pipeline. Les décisions relatives à l’emplacement et à la distribution de ces nouveaux outils ainsi que les plateformes moléculaires au sein des réseaux nationaux de diagnostic doivent être basées sur la proximité (vu l’importance de la décentralisation), l’urgence (vu le nombre de décès inutiles dus à la tuberculose), et l’opportunité de répondre aux besoins de la tuberculose ainsi qu’à ceux des autres problèmes de santé par le biais de dépistage multiplex. En tant que société civile et communautés, nous voulons aider le gouvernement à développer des plans de déploiement pour les dépistages sur de nouveaux sites de soins et/ou à proximité des sites de soins, afin couvrir tous les centres de soins de santé primaires. Nous voulons aider le gouvernement à élaborer des plans de déploiement de nouveaux diagnostics moléculaires de la tuberculose moins complexes, de préférence multiplex, dans chaque établissement de soins de santé secondaires. Nous demandons que les PNT et les directeurs des laboratoires nationaux organisent des fora/consultations nationaux pour élaborer conjointement ces plans. Pour obtenir des prix abordables négociés avec le secteur de l’industrie, nous devons faire preuve d’ambition dans notre planification. Si la demande est forte, si l’ambition est grande et si les volumes de commandes sont importants, nous obtiendrons un prix plus abordable que si nous restons lents et faibles dans notre déploiement. Nous devons faire en sorte que ce prix abordable de demain le soit dès aujourd’hui. Rappelons également que le pipeline propose des alternatives solides au monopole de GenXpert, ce qui permet aux gouvernements d’avoir davantage d’options en fonction des besoins de leur population et de la capacité de leur réseau. Nous demandons à l’industrie de fournir et aux acteurs de la santé mondiale de garantir : premièrement, l’octroi de licences pour ces technologies prometteuses et le transfert de technologie pour permettre la fabrication régionale ; deuxièmement, la transparence des prix des outils de diagnostic et des

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Soutien à l’engagement rapide : Dialogue régional virtuel pour élaborer un document de contribution communautaire pour la subvention multipays

En juin 2024, le Fonds mondial a publié des directrices pour le financement multipays pour le cycle de financement 2023-2025 . Le financement multi-pays est disponible pour couvrir un nombre limité de priorités stratégiques clés qui sont considérées comme essentielles pour atteindre les objectifs de la stratégie du Fonds mondial avec des ressources qui complètent les allocations nationales, connues sous le nom d’investissements catalytiques, pour aborder des domaines qui ne peuvent pas être couverts par ces seules allocations. Ces priorités ont été définies par le Secrétariat du Fonds mondial et approuvées par le Comité d’approbation des subventions (GAC) en avril 2024, et seront financées par cette modalité catalytique.Afin de recueillir les priorités des représentants des populations clés (y compris, mais sans s’y limiter, les professionnelles du sexe (PS), hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), personnes transgenres, et usagers de drogues injectables (UDI)) pour les domaines prioritaires identifiés pour le financement multi-pays, le Hub régional d’apprentissage, mise en œuvre par le Réseau d’Accès aux Médicaments Essentiels (RAME), organisera un dialogue régional virtuel.Les résultats du processus de dialogue virtuel seront publiés et pourront être utilisés comme un document de travail fondamental par tout candidat potentiel pour préparer sa proposition.  Accédez ici à l’Appel

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Journée internationale de la couverture sanitaire universelle

En prévision de la Journée internationale de la CSU le 12 décembre, nous sommes ravis de partager avec vous le modèle de lettre de plaidoyer que vous pouvez personnaliser pour intégrer vos messages clés et vos demandes aux décideurs pour accélérer les progrès en matière de CSU. Cette Journée de la CSU 2024 se déroulera sous le thème « Santé : c’est l’affaire du gouvernement ! », qui vise à souligner le rôle essentiel du gouvernement pour garantir que personne ne souffre de difficultés financières lors de l’accès aux services de santé en raison de frais à sa charge. Au cours des deux dernières décennies, la protection financière en matière de santé s’est progressivement dégradée dans 70 % des pays. Plus de 2 milliards de personnes dans le monde ont des difficultés financières pour accéder aux services de santé en raison des frais à leur charge. Les progrès vers la CSU sont entravés lorsque des milliards de personnes sont poussées ou poussées plus loin dans la pauvreté, ou contraintes de renoncer à des traitements, ce qui peut entraîner une maladie à long terme ou la mort. Cette campagne de lettres de plaidoyer pour la Journée de la CSU vise à doter les défenseurs des ressources dont ils ont besoin pour appeler leurs décideurs à donner la priorité à la protection financière afin d’accélérer les progrès de la CSU. En outre, les défenseurs qui envoient des lettres à leurs dirigeants seront considérés comme participant à la campagne des champions de la Journée de la CSU 2024. Il leur suffit de nous prévenir lorsqu’ils envoient la lettre en copiant laura@wacihealth.orget/ou recevoir une réponse de leur public cible. Le modèle de lettre de plaidoyer est disponible en anglais, en espagnol, en français et en russe. Aidez-nous à amplifier notre message auprès de vos réseaux. Merci beaucoup pour votre soutien et votre partenariat. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions ou si vous avez besoin de quoi que ce soit.

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Rapport mondial de l’OMS sur la Tuberculose

Le rapport mondial 2024 de l’OMS sur la tuberculose met en évidence des progrès mitigés dans la lutte mondiale contre la tuberculose, avec des défis persistants tels qu’un sous-financement important. Alors que le nombre de décès liés à la tuberculose a diminué de 1,32 million en 2022 à 1,25 million en 2023, le nombre total de personnes tombant malades Le nombre de personnes atteintes de tuberculose a légèrement augmenté pour atteindre environ 10,8 millions en 2023.La maladie touchant de manière disproportionnée les populations de 30 pays fortement touchés, l’Inde (26 %), l’Indonésie (10 %), la Chine (6,8 %), les Philippines (6,8 %) et le Pakistan (6,3 %) représentaient ensemble 56 % de la prévalence mondiale. Fardeau de la tuberculose. Selon le rapport, 55 % des personnes atteintes de tuberculose étaient des hommes, 33 % des femmes et 12 % des enfants et des jeunes adolescents. « Le fait que la tuberculose tue et rende malade encore tant de personnes est un scandale, alors que nous disposons des outils pour la prévenir, la détecter et la traiter », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus. « L’OMS exhorte tous les pays à honorer les engagements concrets pris dans ce domaine. « Ils ont pris des mesures pour étendre l’utilisation de ces outils et pour mettre fin à la tuberculose. » En 2023, l’écart entre le nombre estimé de nouveaux cas de tuberculose et ceux signalés s’est réduit à environ 2,7 millions, contre environ 4 millions en 2020 et 2021 lors de la pandémie de COVID-19. Cela fait suite à des efforts nationaux et mondiaux substantiels pour se remettre de la COVID-19. Les perturbations liées aux services de lutte contre la tuberculose. La couverture du traitement préventif contre la tuberculose a été maintenue pour les personnes vivant avec le VIH et continue de s’améliorer pour les contacts familiaux des personnes diagnostiquées avec la tuberculose. Cependant, la tuberculose multirésistante reste une crise de santé publique. Les taux de réussite du traitement de la tuberculose multirésistante ou résistante à la rifampicine (TB-MR/RR) atteignent désormais 68 %. Mais, sur les 400 000 personnes qui auraient développé une tuberculose multirésistante/ RR-TB, seulement 44% ont été diagnostiqués et traités en 2023. Lacunes et défis en matière de financement : Le financement mondial de la prévention et des soins de la tuberculose a encore diminué en 2023 et reste bien en deçà des objectifs. Les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI), qui supportent 98 % du fardeau de la tuberculose, ont été confrontés à d’importantes pénuries de financement. Seuls 5,7 milliards de dollars sur les 22 milliards de dollars prévus L’objectif de financement annuel de 1 milliard de dollars était disponible en 2023, soit seulement 26 % de l’objectif mondial. Le montant total des financements des donateurs internationaux dans les pays à revenu faible et intermédiaire est resté autour de 1,1 à 1,2 milliard de dollars par an pendant plusieurs années. Le gouvernement des États-Unis reste le plus grand donateur bilatéral pour la tuberculose. Alors que le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme) est le principal donateur bilatéral pour la tuberculose, le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme (le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme) est le principal donateur bilatéral pour la tuberculose. La contribution du Fonds mondial au financement international de la lutte contre la tuberculose, en particulier dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, est importante, mais elle reste insuffisante pour couvrir les besoins essentiels en matière de services de lutte contre la tuberculose. Le rapport souligne qu’un investissement financier soutenu est essentiel au succès des efforts de prévention, de diagnostic et de traitement de la tuberculose. À l’échelle mondiale, la recherche sur la tuberculose reste gravement sous-financée, avec seulement un cinquième de l’objectif annuel de 5 milliards de dollars US atteint en 2022. Cela entrave le développement de nouveaux diagnostics, médicaments et vaccins contre la tuberculose. L’OMS continue de mener les efforts pour faire progresser le programme de vaccination contre la tuberculose, notamment avec le soutien du Conseil pour l’accélération des vaccins contre la tuberculose lancé par le Directeur général de l’OMS. Facteurs complexes de l’épidémie : Pour la première fois, le rapport fournit des estimations sur le pourcentage de ménages touchés par la tuberculose qui doivent faire face à des coûts catastrophiques (supérieurs à 20 % du revenu annuel du ménage) pour accéder au diagnostic et au traitement de la tuberculose dans tous les pays à revenu faible ou intermédiaire. Ces estimations indiquent que la moitié des ménages touchés par la tuberculose sont confrontés à des coûts catastrophiques (supérieurs à 20 % du revenu annuel du ménage) pour accéder au diagnostic et au traitement de la tuberculose dans tous les pays à revenu faible ou intermédiaire. des coûts si catastrophiques. Un nombre important de nouveaux cas de tuberculose sont dus à cinq facteurs de risque majeurs : la dénutrition, l’infection par le VIH, les troubles liés à la consommation d’alcool, le tabagisme (en particulier chez les hommes) et le diabète. Pour s’attaquer à ces problèmes, ainsi qu’à des facteurs déterminants comme la pauvreté et le PIB par habitant, il faut action multisectorielle coordonnée. « Nous sommes confrontés à une multitude de défis redoutables : déficits de financement et fardeau financier catastrophique pour les personnes touchées, changement climatique, conflits, migrations et déplacements, pandémies et tuberculose résistante aux médicaments, un facteur important de résistance aux antimicrobiens », a déclaré le Dr Tereza Kasaeva , Directeur du Programme mondial de lutte contre la tuberculose de l’OMS. « Il est impératif que tous les secteurs et toutes les parties prenantes s’unissent pour faire face à ces problèmes urgents et intensifier nos efforts. » Les objectifs et les jalons mondiaux visant à réduire la charge de morbidité de la tuberculose sont loin d’être atteints, et des progrès considérables sont nécessaires pour atteindre les autres objectifs fixés pour 2027

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Guide sur le paludisme et le genre

La ressource sur les actions pratiques visant à intégrer le genre dans les programmes de lutte contre le paludisme est disponible – voir ici et ci-joint : https://www.theglobalfund.org/media/15055/crg_strengthen-gender-approaches-malaria-response_report_en.pdf Cette ressource se concentre sur une série d’exemples concrets pour montrer comment il est possible d’intégrer le genre dans les programmes de lutte contre le paludisme et de santé primaire de manière pratique et gérable. Veuillez l’utiliser et le partager avec vos partenaires.Ce travail est le fruit d’une collaboration approfondie entre le Secrétariat et les collègues des domaines de l’égalité des sexes, des droits de l’homme, du paludisme et de la santé environnementale et sociale. Il a également bénéficié de consultations et de discussions avec la communauté de pratique mondiale sur l’égalité des sexes et le paludisme ainsi qu’avec l’OMS.

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Le Fonds mondial, un pilier dans la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme, renforce les systèmes de santé pour un avenir plus inclusif et résilient.

« Le Fonds mondial tient sa promesse : sauver des vies face au VIH, à la tuberculose et au paludisme, tout en collaborant avec les pays pour renforcer et rendre plus inclusifs les systèmes de santé », a déclaré Peter Sands, directeur exécutif du Fonds mondial. Le Rapport 2024 sur les résultats met en avant les avancées significatives dans la lutte contre ces maladies dévastatrices et nos efforts pour renforcer les systèmes de santé, les rendant plus solides et inclusifs. Pour en savoir plus, consultez le rapport complet en français https://www.theglobalfund.org/media/15079/core_2024-results_summary_fr.pdf

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Restitution de la mission de Genève : le Tchad renforce sa préparation pour la demande GC7

Le mardi 24 septembre 2024, une session de restitution de la mission de Genève s’est tenue, marquant une étape cruciale dans les discussions sur la demande de subvention GC7. Cette session, présidée par le Ministre de la Santé Publique et président du CCM-TCHAD, a rassemblé toutes les parties prenantes impliquées dans la mise en œuvre de cette subvention essentielle. La rencontre a vu la participation active des représentants des organisations de la société civile et des acteurs communautaires, soulignant ainsi l’engagement collectif pour répondre efficacement aux défis de santé au Tchad. La mission, qui s’est déroulée à Genève du 16 au 20 septembre 2024, a permis de défendre avec succès la demande de subvention CS7. Les retours obtenus ont été partagés lors de cette session, permettant d’affiner les stratégies nécessaires pour maximiser les chances de succès. Les discussions ont mis en lumière l’importance de la collaboration entre les différents acteurs pour garantir une réponse coordonnée et efficace. Les représentants des organisations de la société civile ont apporté des perspectives précieuses, basées sur leur expérience de terrain, tandis que les acteurs communautaires ont souligné les besoins spécifiques des populations locales. La session s’est conclue sur une note de satisfaction générale, avec une volonté affirmée de toutes les parties prenantes d’unir leurs efforts pour obtenir la subvention GC7. Cette subvention est perçue comme un levier crucial pour renforcer le système de santé tchadien et améliorer les conditions de vie de la population. En somme, cette rencontre a non seulement permis de faire le point sur les avancées de la mission de Genève, mais aussi de renforcer la détermination collective à œuvrer pour un avenir meilleur en matière de santé publique au Tchad.

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Des vies sauvées, un impact durable : le Fonds mondial au cœur de la lutte contre les épidémies mondiales !

Le Rapport sur les résultats du Fonds mondial souligne des avancées majeures dans la lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme, ainsi que des baisses de prix pour des médicaments essentiels. Depuis 2002, les investissements dans la lutte contre ces maladies ont permis de sauver 65 millions de vies et de réduire le taux combiné de mortalité de 61 %. « Ces chiffres représentent bien plus que des statistiques », a déclaré Peter Sands, directeur exécutif du Fonds mondial. « Chaque vie sauvée est celle d’un membre de famille, d’un voisin, d’un enseignant ou d’un employé. Chaque infection évitée crée un impact au sein des familles, des communautés et des nations entières. » En vingt ans, les efforts du Fonds mondial ont entraîné une hausse spectaculaire de l’espérance de vie, réduisant les inégalités de mortalité liées au sida, à la tuberculose et au paludisme de moitié entre 2002 et 2019. Lien du rapport 2024 sur les résultats https://www.theglobalfund.org/fr/results/

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