APPEL A PROPOSITIONS : Fonds d’urgence pour la lutte contre le VIH

Cher partenaire, Nous espérons que vous allez bien. En réponse, Aidsfonds a lancé un Fonds d’urgence pour la réponse au VIH afin de fournir un financement flexible, rapide et à court terme pour garantir que les personnes vivant avec le VIH ou vulnérables au VIH puissent continuer à accéder à des services de prévention et de traitement vitaux . Au cours des dernières semaines, l’ ordre d’arrêt des travaux émis par l’administration américaine a eu un impact dévastateur sur la réponse mondiale au VIH. Malgré une dérogation, la dernière enquête communautaire d’Aidsfonds et de GNP+ montre que ces mesures continuent de perturber les services essentiels pour les particuliers et les professionnels de santé. À quoi sert le Fonds d’urgence ? Le fonds est conçu pour combler les lacunes critiques dans la prestation de services , en soutenant les solutions menées par la communauté pour maintenir l’accès à :– Traitement antirétroviral (TAR) et soutien à l’observance– Tests de dépistage du VIH , tests de charge virale et tests de numération des cellules CD4– Services de prévention du VIH , y compris la PrEP, la réduction des risques et le traitement par agonistes opioïdes– Coûts directs du personnel indispensables à ces services Des subventions sont disponibles jusqu’à 15 000 € pour des activités qui seront mises en œuvre immédiatement et doivent être achevées avant le 24 avril 2025 . Comment postuler ? Les candidatures doivent être soumises en ligne via le portail de subventions Aidsfonds — les candidatures par courrier électronique ne seront pas acceptées . Le portail ouvre aux candidatures le 12 février 2025 . Les candidatures seront examinées au fur et à mesure, et les décisions seront prises dans un délai de 3 jours ouvrables . Les fonds approuvés seront transférés dans les 7 jours . Pour plus de détails, veuillez consulter l’ appel à propositions et le formulaire de candidature type ci-joints. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à contacter emergencyfund@aidsfonds.nl .

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Optimisation de la lutte contre le VIH et la tuberculose avec des outils numériques au service de la communauté : cap sur l’excellence à Bamako !

Du 27 au 31 janvier 2024, ARCAD Santé PLUS a organisé à Bamako une session de formation dédiée aux acteurs clés de la lutte contre le VIH et la tuberculose dans les districts d’intervention. Cette initiative visait à renforcer les compétences des formateurs sur l’utilisation optimale du module Tracker PC Communautaire, un outil innovant pour le suivi et l’analyse des données dans le cadre des programmes de santé communautaire.   ‎De façon spécifique, cette formation a permis de familiariser les participants aux fonctionnalités du Tracker PC, en mettant l’accent sur la maîtrise des interfaces de saisie et d’analyse des données, le suivi individuel des PC (Prestataires Communautaires), l’harmonisation des pratiques afin de garantir une utilisation cohérente et efficace de l’outil par tous les partenaires impliqués dans la réponse au VIH et à la tuberculose.   ‎‎Cet outil numérique est un pilier essentiel pour optimiser la gestion des données sanitaires, permettant un suivi en temps réel des indicateurs épidémiologiques et opérationnels. Son appropriation par les formateurs et les acteurs de terrain favorisera une meilleure coordination des actions, une détection rapide des besoins et une prise de décision éclairée pour atteindre les cibles sanitaires nationales.   ‎‎À l’issue des cinq jours de travaux, les compétences acquises permettront d’améliorer la qualité des données, la traçabilité des interventions et le suivi personnalisé des patients, contribuant ainsi à l’atteinte des objectifs de l’OMS en matière de santé publique.   ‎

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Pour des soins sans discrimination : les acteurs de la société civile renforcent leurs outils de suivi des violations des droits au Sénégal.

Face aux défis persistants de stigmatisation et de discrimination dans l’accès aux services de santé au Sénégal, l’Alliance Nationale des Communautés pour la Santé (ANCS), avec le soutien du Fonds Mondial dans le cadre du GC7, met en œuvre des initiatives essentielles pour promouvoir et protéger les droits humains. Parmi celles-ci, la documentation des cas de violations des droits humains est primordiale pour renforcer les actions de plaidoyer et garantir une offre de soins inclusive et respectueuse des droits. C’est dans ce contexte que l’ANCS organise, du 4 au 5 février 2025 à Dakar, un atelier de validation de la revue et d’évaluation des outils de documentation des cas de violation des droits humains. Cet atelier a pour objectif général de valider et d’adapter les outils de documentation existants afin de mieux répondre aux besoins spécifiques des communautés. ‎Les participants, issus d’organisations partenaires, des autorités sanitaires et d’acteurs communautaires, échangeront sur les résultats de la revue des outils, discuteront des recommandations et élaboreront une feuille de route pour renforcer l’efficacité de ces outils. L’atelier vise également à sensibiliser les communautés pour encourager la documentation des violations, élément clé dans la lutte contre les discriminations. ‎Cet événement s’inscrit dans une dynamique plus large d’élimination des obstacles liés aux droits humains pour garantir un accès équitable aux services de lutte contre le VIH et la tuberculose. En collaboration avec des partenaires comme l’Association des Juristes Sénégalaises, l’ANCS renforce les capacités des acteurs communautaires pour inverser les rôles et faire en sorte que ce soient les auteurs de violations qui aient à répondre de leurs actes.

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‎Sénégal : Des acteurs de la société civile sénégalaise élaborent un manuel des paquets de services communautaires intégrés

Le VIH, la tuberculose, les IST et les hépatites virales demeurent des défis majeurs de santé publique. Ces maladies, souvent imbriquées dans des contextes de vulnérabilité, nécessitent une réponse intégrée et adaptée aux besoins des communautés.‎‎Dans ce cadre, le Principal Récipiendaire (PR) de la Société Civile a tenu un atelier clé à Dakar, pour finaliser un manuel de mise en œuvre des paquets de services communautaires intégrés. Cet outil vise à structurer et renforcer les interventions de terrain en alignant les actions sur les stratégies nationales.‎‎L’objectif de cet atelier était de Partager, discuter et valider des outils pratiques destinés à guider les organisations communautaires, les formateurs, et les acteurs de terrain dans une approche intégrée de lutte contre ces maladies.‎‎En travaillant ensemble, nous construisons des solutions adaptées et pérennes pour améliorer l’accès aux soins et accompagner les plus vulnérables.

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Rapport de mission d’Assistance Technique : Évaluation des besoins prioritaires des populations clés

Dans l’optique de recueillir les priorités des populations afin de les intégrer efficacement dans les propositions de financement, le Hub régional d’apprentissage, sous l’égide du Réseau d’Accès aux Médicaments Essentiels (RAME), a été mandaté pour organiser un dialogue régional virtuel afin d’identifier les besoins et priorités des populations clés pour informer le financement multipays. Cette étude, réalisée en décembre 2024, avait pour objectif d’évaluer les besoins prioritaires des populations clés en matière de santé, en se concentrant sur la disponibilité et l’accès aux services de prévention et de dépistage. Elle a concerné plusieurs pays, notamment le GABON ; NIGER ; GUINEE-BISSAU ; GUINEE ; TCHAD, et s’est appuyée sur un dialogue constructif avec les acteurs locaux. Les résultats de cette évaluation ont permis d’analyser la disponibilité des services de prévention et de dépistage dans chaque pays étudié, d’identifier les défis d’accès auxquels les populations clés sont confrontées et de proposer des recommandations claires pour améliorer l’accès et la qualité de ces services. Téléchargez ce rapport pour découvrir les enseignements de cette étude et les pistes d’amélioration pour des services de santé inclusifs et accessibles.  Téléchargez le rapport ici

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Unir les forces pour éliminer les obstacles : la Côte d’Ivoire s’engage dans une riposte inclusive contre la tuberculose

Du 25 au 30 novembre 2024, se tient en Côte d’Ivoire un atelier d’élaboration du plan d’action CRG (droits, genre et communautés) pour lutter contre les barrières d’accès au traitement de la tuberculose. Organisé à la suite d’une étude approfondie ayant identifié les principaux obstacles, notamment la stigmatisation et la discrimination, cet atelier permettra de coconstruire des solutions concrètes avec une large coalition de parties prenantes. Parmi les participants figurent le COLTMR CI, l’Alliance Côte d’Ivoire, le Programme National de Lutte contre la Tuberculose (PNLT), le Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS), des ONG d’anciens patients atteints de tuberculose, l’Association des Femmes Juristes, le Comité National des Droits de l’Homme (CNDH), la Direction de la Santé Communautaire et de la Promotion de la Santé (DSCPS), le Réseau Ivoirien des Femmes (RIOF), ainsi que le Comité d’Éthique. L’objectif de cet atelier est d’élaborer un plan d’action opérationnel et inclusif visant à réduire les obstacles liés aux droits humains et au genre, en favorisant un accès équitable et respectueux aux soins. Ensemble, ces acteurs se mobilisent pour transformer les résultats de l’étude en actions concrètes, contribuant ainsi à une lutte plus efficace contre la tuberculose en Côte d’Ivoire. En unissant leurs expertises et perspectives, les parties prenantes s’engagent à proposer des activités adaptées aux réalités locales pour éradiquer les pratiques discriminatoires et renforcer l’accompagnement des patients atteints de tuberculose. Ce plan d’action constituera une avancée décisive pour garantir que chaque patient puisse bénéficier d’un traitement dans un environnement respectueux de ses droits et de sa dignité.

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Appel à l’action : accès des communautés à des diagnostics efficaces, adaptés, abordables et de qualité

Observations du Consortium pour l’équité en matière de diagnostic (DEC) lors de la Convention spéciale de l’ASLM sur le diagnostic 7 Nov 2024, Abidjan, Côte d’Ivoire La Commission du Lancet sur les diagnostics a constaté un très grave manque de diagnostics essentiels dans les pays à faibles et moyens revenus et a conclu qu’environ 47 % de la population mondiale n’a qu’un accès limité, voire inexistant, aux diagnostics. Cette inégalité affecte gravement la population africaine. Le Consortium pour l’équité en matière de diagnostic (DEC) est un mouvement dirigé par la société civile qui plaide pour un accès plus large aux diagnostics essentiels afin de combler ce fossé mortel. Le DEC a constaté les progrès considérables réalisés dans le développement de nouveaux outils et stratégies de diagnostic, en particulier dans le domaine de la tuberculose, qui pourraient permettre d’atteindre les objectifs de couverture diagnostique fixés par les pays africains lors de la réunion de haut niveau des Nations unies sur la tuberculose. Nous sommes également ravis de la ratification, par les États membres africains, de la résolution de l’Assemblée Mondiale de la Santé (AMS) 2023 sur l’expansion des capacités des réseaux nationaux de diagnostic. En outre, nous sommes ravis de la dynamique visant à élargir l’accès aux diagnostics dans la région et nous félicitons l’ASLM pour son leadership, ses réunions et le soutien technique qu’elle apporte aux pays. Le moment n’a jamais été aussi propice pour faire avancer l’agenda du diagnostic au plan global. Toutefois, nous constatons que les gouvernements africains n’accordent toujours pas la priorité au financement et à l’allocation de ressources aux réseaux nationaux de diagnostic. Cela fait plus de 20 ans que le secteur public assure le programme de lutte contre le VIH, mais l’absence d’intégration dans les établissements de santé et les laboratoires, ainsi que le cloisonnement vertical des maladies, perdurent. Il est surprenant qu’en 2024, les programmes de soutien des donateurs n’aient pas encore totalement intégré la collecte et le transport des échantillons. Nous nous réjouissons d’entendre davantage de discours sur les dépistages centrés sur la personne, mais nous attendons toujours les changements nécessaires pour réduire le fardeau qui pèse sur les populations, notamment l’envoi numérique des résultats de laboratoire aux patients, la décentralisation des tests, l’adoption des tests auto-administrés comme objectif, l’élimination des frais à la charge du patient et la garantie que les diagnostics essentiels sont couverts par les régimes nationaux d’assurance-maladie. Nous constatons également avec inquiétude que les distributeurs locaux appliquent des marges de bénéfice élevées et que les contrats d’approvisionnement et de maintenance sont trop coûteux, ce qui a un impact négatif sur le coût et la disponibilité des kits de dépistage. Encore plus grave, le rôle de la société civile et des communautés reste faible voire inexistant dans la planification et la prise de décision en matière de diagnostic au niveau national. Nous demandons donc à tous les directeurs de laboratoire ici présents, ou à leurs représentants, de s’efforcer de respecter les engagements pris dans la résolution de l’AMS sur le diagnostic. Au pire des cas, les pays devraient élaborer une liste nationale des diagnostics essentiels (LDE) et des plans stratégiques nationaux de diagnostic – toutes maladies confondues. Il ne s’agit pas d’un plan de laboratoire national. Il s’agit d’un plan visant à étendre la disponibilité des tests essentiels aux soins de santé primaires et secondaires. Nous appelons également les directeurs de laboratoire et les directeurs de programme du ministère de la santé à consulter les représentants de la société civile et les communautés. Après tout, nous sommes vos meilleurs alliés pour le renforcement de la sensibilisation, de l’alphabétisation, de la création de la demande et de l’utilisation des tests dont nous disposons. Nous sommes également vos meilleurs alliés pour la réussite des plaidoyers en faveur des dépistages et prestations de services abordables, adaptés et efficaces, dont nous avons besoin à tous les niveaux de soins. Pour la tuberculose en particulier, nous appelons les pays à se préparer et à planifier dès maintenant l’introduction et le déploiement de nouveaux diagnostics innovants sur le site de soins et/ou près du site de soins, une fois sortis du pipeline. Les décisions relatives à l’emplacement et à la distribution de ces nouveaux outils ainsi que les plateformes moléculaires au sein des réseaux nationaux de diagnostic doivent être basées sur la proximité (vu l’importance de la décentralisation), l’urgence (vu le nombre de décès inutiles dus à la tuberculose), et l’opportunité de répondre aux besoins de la tuberculose ainsi qu’à ceux des autres problèmes de santé par le biais de dépistage multiplex. En tant que société civile et communautés, nous voulons aider le gouvernement à développer des plans de déploiement pour les dépistages sur de nouveaux sites de soins et/ou à proximité des sites de soins, afin couvrir tous les centres de soins de santé primaires. Nous voulons aider le gouvernement à élaborer des plans de déploiement de nouveaux diagnostics moléculaires de la tuberculose moins complexes, de préférence multiplex, dans chaque établissement de soins de santé secondaires. Nous demandons que les PNT et les directeurs des laboratoires nationaux organisent des fora/consultations nationaux pour élaborer conjointement ces plans. Pour obtenir des prix abordables négociés avec le secteur de l’industrie, nous devons faire preuve d’ambition dans notre planification. Si la demande est forte, si l’ambition est grande et si les volumes de commandes sont importants, nous obtiendrons un prix plus abordable que si nous restons lents et faibles dans notre déploiement. Nous devons faire en sorte que ce prix abordable de demain le soit dès aujourd’hui. Rappelons également que le pipeline propose des alternatives solides au monopole de GenXpert, ce qui permet aux gouvernements d’avoir davantage d’options en fonction des besoins de leur population et de la capacité de leur réseau. Nous demandons à l’industrie de fournir et aux acteurs de la santé mondiale de garantir : premièrement, l’octroi de licences pour ces technologies prometteuses et le transfert de technologie pour permettre la fabrication régionale ; deuxièmement, la transparence des prix des outils de diagnostic et des

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Soutien à l’engagement rapide : Dialogue régional virtuel pour élaborer un document de contribution communautaire pour la subvention multipays

En juin 2024, le Fonds mondial a publié des directrices pour le financement multipays pour le cycle de financement 2023-2025 . Le financement multi-pays est disponible pour couvrir un nombre limité de priorités stratégiques clés qui sont considérées comme essentielles pour atteindre les objectifs de la stratégie du Fonds mondial avec des ressources qui complètent les allocations nationales, connues sous le nom d’investissements catalytiques, pour aborder des domaines qui ne peuvent pas être couverts par ces seules allocations. Ces priorités ont été définies par le Secrétariat du Fonds mondial et approuvées par le Comité d’approbation des subventions (GAC) en avril 2024, et seront financées par cette modalité catalytique.Afin de recueillir les priorités des représentants des populations clés (y compris, mais sans s’y limiter, les professionnelles du sexe (PS), hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), personnes transgenres, et usagers de drogues injectables (UDI)) pour les domaines prioritaires identifiés pour le financement multi-pays, le Hub régional d’apprentissage, mise en œuvre par le Réseau d’Accès aux Médicaments Essentiels (RAME), organisera un dialogue régional virtuel.Les résultats du processus de dialogue virtuel seront publiés et pourront être utilisés comme un document de travail fondamental par tout candidat potentiel pour préparer sa proposition.  Accédez ici à l’Appel

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Journée internationale de la couverture sanitaire universelle

En prévision de la Journée internationale de la CSU le 12 décembre, nous sommes ravis de partager avec vous le modèle de lettre de plaidoyer que vous pouvez personnaliser pour intégrer vos messages clés et vos demandes aux décideurs pour accélérer les progrès en matière de CSU. Cette Journée de la CSU 2024 se déroulera sous le thème « Santé : c’est l’affaire du gouvernement ! », qui vise à souligner le rôle essentiel du gouvernement pour garantir que personne ne souffre de difficultés financières lors de l’accès aux services de santé en raison de frais à sa charge. Au cours des deux dernières décennies, la protection financière en matière de santé s’est progressivement dégradée dans 70 % des pays. Plus de 2 milliards de personnes dans le monde ont des difficultés financières pour accéder aux services de santé en raison des frais à leur charge. Les progrès vers la CSU sont entravés lorsque des milliards de personnes sont poussées ou poussées plus loin dans la pauvreté, ou contraintes de renoncer à des traitements, ce qui peut entraîner une maladie à long terme ou la mort. Cette campagne de lettres de plaidoyer pour la Journée de la CSU vise à doter les défenseurs des ressources dont ils ont besoin pour appeler leurs décideurs à donner la priorité à la protection financière afin d’accélérer les progrès de la CSU. En outre, les défenseurs qui envoient des lettres à leurs dirigeants seront considérés comme participant à la campagne des champions de la Journée de la CSU 2024. Il leur suffit de nous prévenir lorsqu’ils envoient la lettre en copiant laura@wacihealth.orget/ou recevoir une réponse de leur public cible. Le modèle de lettre de plaidoyer est disponible en anglais, en espagnol, en français et en russe. Aidez-nous à amplifier notre message auprès de vos réseaux. Merci beaucoup pour votre soutien et votre partenariat. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions ou si vous avez besoin de quoi que ce soit.

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